Comme un paysage de la peinture de Bruëghel, avec une esthétique du personnage lointain, la vidéo devient la mémoire de cet espace durant deux saisons.Le travail du paysan, déconstruit et transforme l’arbre en ressource, le même cadrage sur six mois.
Puis le travail des champs reprend, cette parenthèse se referme. Septantième année de l’arbre, deux saisons, puis rien.